martes, 23 de febrero de 2016

L´époque de Jean Racine


La deuxième moitié du XVIIème siècle représente une ère de prospérité, suivie de la crise de conscience européenne dans les années 1680-1715. Le théâtre, qui était au début poursuivi par l´Église devient en 1680 répandu dans toute l´Europe. Jean Racine rivalise avec Pierre Corneille pour la meilleure pièce de théâtre. Sa forme de théâtre est caractérisée comme classique mais il n’est pas entièrement coupé des idées précieuses. On peut le voir par exemple dans son idée du fatalisme de l’amour. De 1667 à 1677, il écrit sept tragédies : Andromaque, Bérénice, Bajazet, Mithridate, Iphigénie en Aulide, Phèdre et Athalie. Après il délaisse son métier d´écrivain et devient l´historiographe du roi. Jean Racine invente la nouvelle forme du tragique - la catastrophe est imminente dès les premières paroles des personnages – ce qui est valable aussi pour Bajazet.

Toutes ses tragédies sont pleines des sentiments d’amour, de haine, d’ambition. « Dès que ces passions nous sont connues, nous savons qu´il n´y a pas d´issue sans meurtre. La durée de la pièce ne tient qu´à l´indécision des personnages. » Le sujet lui-même de la tragédie n’est pas tellement difficile. Racine met en valeur les relations entre les personnages. Aux passions et relations compliquées est ajoutée la fatalité du destin et l’atmosphère exotique. Tout cela fait de Bajazet une tragédie remarquable.

Cette introduction nous montre que la vie et l’œuvre de Jean Regnault de Segrais comme plus modeste que celle de Jean Racine. Il aimait la paix de la campagne et cette tranquillité pénètre dans la nouvelle qui est en elle-même un genre léger qui sert au repos ou au divertissement. Dans la vie de Jean Racine, on sent une grande ambition d’obtenir un succès et montrer qu’il signifie quelque chose. Et, il a réussi. Il a élevé le genre de la tragédie jusqu’à la perfection et il s’est installé à la cour du roi.


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